MON DRAPEAU

MON DRAPEAU

lundi 10 septembre 2012

Sur Jeremie Vous devriez absolument savoir...


Jérémie est une commune ou ville (dans le langage haïtien) située dans le département de la grande-anse. Elle fait partie de l’arrondissement de Jérémie, et chef lieu de ce dit département. A noter que le département de la grande-Anse est divisé en trois arrondissements et 12 communes.  - --


2.      Arrondissement de Corail (4 communes) :Corail, Roseaux, Beaumont, Pestel


Cette ville porte aussi le nom de “cité des Poètes”. Tout simplement parce beaucoup d’écrivains, poètes et historiens Haïtiens y sont nés. Tells que

-          Général Dumas (1762-1806), père d”alexandre Dumas et d’Alexandre Dumas Fils

-          Etzer Vilaire (1872-1951)

-          Emile Roumer (1903-1988)

-          Jean Fernand Brierre (1909-1992)

-          René Philoctète (1932-1995)

-          Jean-Claude Fignole ne en 1941

-          Raoul Cedras ne en 1949

Jérémie est située à environ 297 km à l’ouest de la ville de Port-au-Prince, sur la rive nord de la péninsule de Toburon aussi appelé la presqu’ile du sud. La ville de Jérémie a une population de 34 788 Habitants (estimation 2009)

Fait historique

Massacre des vêpres Jérémiennes

En 1964 sous le règne de François Duvalier, il y a eu une partie de la population locale de Jérémie qui a été traquée et tuée par les partisans de Duvalier. Les vêpres se réfère dans ce temps à des excursions organisées par les familles lors des sorties dominicales, pour des pique-nique à la champagne.  Ces sorties étaient organisée sur une base racial et de classes blancs et mulâtres. Ceci a crée une certaine rancœur au sein de la population de Jérémie. Cette rancœur était même au niveau du gouvernement de Duvalier qui prônait une politique noiriste. Ce théâtre commençait avec le débarquement de treize membres de la troupe “jeune Haïtien” dont 12 mulâtres et 1 noir dans le sud d'Haiti. 27 personnes, de deux familles des membres des jeunes Haïti sont massacrées dans la ville de Jérémie. Les treize membres sont poursuivis et tués sur place ou emmenés à être exécuté en public devant le cimetière de Port-au-Prince. Aux mois d'aout, septembre et octobre des centaines de mulâtresses femmes, vieillards et enfants sont torturés et tués.

La comparette est une spécialité de Jérémie. Une sorte de bonbon
Voir de part vous meme...

Sur la route National #1 avant les cayes




La riviere Foide.





La ville de Jeremie



Cathedrale de Jeremie

Place publique


Une ancienne maison



la Riviere de la Grande-Anse


jeudi 21 juin 2012

BONNE FÊTE PAPA!!! A l’église Méthodiste



Eglise Méthodiste/Nouveau Collège Bird

          Le centre Musical douze Apôtre  et L'eglise Méthodiste vous invitent  à un grand culte concert fait à  l'occasion de la fête des pères le dimanche 24 juin à 8h 30 AM.  Ci-dessus un Map qui vous permettra de trouver ton chemin. 

Un programme riche vous attend

BONNE FÊTE PAPA!!!










mercredi 13 juin 2012

La ville du Cap-Haitien



Le Cap-Haitien est une commune de l’ile d’Haiti, chef lieu du département du nord. C’est une ville portuaire située dans la cote ouest de la baie du Cap-Haitien à l’embouchure de la « rivière mapou » et est dominée par la montagne « Morne Jean » qui s’élève à 718 mètres d’altitude (19:45:00 Latitude Nord; 72:11:00 Longitude Ouest). Cette ville a été fondée en 1670 par les flibustiers. Elle a été  connue sous le nom de Guárico sous les espagnols, et devient cap Français pendant la période de la colonie française, Cap Henri sous le règne du roi Henri Christophe, avant d’être nommée Cap-Haitien.
Pendant la période de la colonisation française la ville du cap français était la capitale de Saint-Domingue. Après le pillage de la ville par les espagnols en 1691 et En Mai 1695, par les anglais, le gouverneur a transféré temporairement  son siège à léogane. Pendant la révolte des esclaves elle a été incendiée et pillée.
Cette partie de l’ile a une grande portée historique et culturelle. Toussaint Louverture né Toussaint Breda y fut né en 1743. En 1758, Mackandal y trouva la mort. Jean Baptiste Chavannes et Vincent Ogé les deux mulâtres qui réclamaient la liberté des esclaves ont été  exécuté dans cette ville le 25 février 1791. Dans cette même partie de l’ile, Sontanax a proclamé la libération générale des esclaves.
En 1802, le général Henry Christophe a donné l’ordre d’incendier complètement la ville pour faire face à la supériorité militaire de l’armée française. Car la ville du cap était considérée à l’époque comme la ville la plus sure. Le général ne pouvait pas prendre le risque de perdre sa possession.
Après l’indépendance d’Haiti, la ville du cap était devenue l’un des centres commerciaux et culturels de l’Amérique francophone. Tout ceci a été interrompu avec le terrible séisme du 1842. La première pierre de la reconstruction de cette ville a été posée deux ans après avec le président Philippe Guerrier. Il a donné une somme de cinquante mille gourdes qui allait servir à la reconstruction du quai et du balayage des décombres. La cathédrale du cap détruite a été reconstruite complètement cent ans après.
Maintenant c'est la deuxième ville du pays. Elle est un des plus importants sites touristiques du pays. Avec le palais sans soucis à milot, la citadelle laferière et les multiples plages avec sable fin et/ou blanc….
On appelle Capois/Capoise les habitants du Cap-Haitien. Dans la partie nord de l’ile il y a plus de peaux noires. Généralement les capois/capoise sont noir. Ils sont souvent identifiés par leurs accents. Ils ont un langage très différente du reste de la population haïtienne. C’est en réalité une ville après Port-au-Prince où il y a moins de gens illettré.
Autres infos sur le Cap-Haitien
Personnalité
Jean II Stapleton (Cap-Français, 1696 - 1776), armateur et planteur de sucre à Saint-Domingue, issu de l'émigration jacobites des Irlandais nantais.
Par rapport aux autres villes
Au cap on ecoute…
Il faut chercher ces musiques
  • Cap-Haiti / Ti Corn
    Vwayaje m mèt vwayaje
    Nenpòt ki kote m rive
    Mwen toujou gen pou mwen tounen
    Nan bra ou kap Ayisyen...


  • Cité du Cap-Haitien / Orchestre Septentrional.
    Cité du Cap-Haitien
    Vraiment tu es remplie de charmes
    Avec tes jolies maisons de style colonial...

  • Je t'aime Cap-Haitien / Artiste: Richie:
    Mwen grandi nan yon vil
    dous kou yon mango fil...
Livres et documents sur le Cap-Haitien:
  • Cap-Haïtien; ville des merveilles. [Port-au-Prince] 1953.
  • A Sketch of the harbour of Port Francoise on the Island of Hispaniola. [176-?] carte en couleur 40 x 56 cm.
  • [Bellin, Jacques Nicolas] 1703-1772. Carte des environs du Cap François et des paroisses qui en dependent. [Paris: s.n., 1764].
  • ID. Ville du Cap dans l'isle de St. Domingue. Croisey [sculp. Paris, 1764].
  • Bernardin, Antoine. Silhouettes d'hier : portraits et anecdotes. Port-au-Prince ;: Imprimerie Henri Deschamps, 1985.
  • Corvington, Georges. Pages de jeunesse. Port-au-Prince : Editions des Antilles, [c2002].
  • Jan, Jean Marie. Collecta. Port-au Prince : Henri Deschamps, 1955-.
  • Manigat, Max. Cap-Haitien. Excursions dans le temps : voix capoises de la diaspora. Coconut Creek (FL) : Educa Vision, 2008.
  • Péan, Marc. L'échec du firminisme. Port-au-Prince : Henri Deschamps, 1987.
  • ID. L'illusion héroïque : 25 ans de vie capoise, 1890-1915. [Port-au-Prince] : [Imprimerie Henri Deschamps], [1978].
  • Peloux, Ed, photographer. [Vue aérienne du Cap Haitien] [photographies]. 19 Juillet, 1953.
  • ID. Péan, Marc. La ville éclatée : décembre 1902-juillet 1915. [s.l. : s.n., 1993].
  • Phelipeau, René [1748-1784]. Plan de la plaine du Cap François en l'Isle St. Domingue, rédigé d'après les dernieres opérations géométriques des ingénieurs du roy. Paris : s.n., 1786.
  • Renoit, Herns J. L'invasion du 20 mai 1968 au Cap-Haïtien. s.l.: Herns J. Renoit, 2004.
  • Sánchez, Josef María. El Guarico, alias, el cavo Frances, es una de las colonias y puertos qe. poseen los Franceses en la parte occidental de la Ysla Española una de la Caribes u de Varlovento en la América, situada en 19 gs. 44 ms. de lattd. septentrional y en 303 gs. 57 ms. de longitud de Tenerife en la vanda del norte de la ysla, 17 legs. al oeste quarta al sudoeste de Monte Chriti y 25 legs. al este del Cavo de San Nicolas. Delineado pr. Dn. Josef María Sánchez, pilotin de la Real Armada, vaxo la corrección de Dn. Pedro Revelles, maestro delineador pr. S. M. de la Rl. Escuela del Departamento de Cádiz, año de 1783. 1783. Carte géographique : 38 x 34 cm.
  • Werleigh, Christian. Ma ville, mon pays. Ville du Cap-Haïtien. [Port-au-Prince, 1947?]

On ne va pas oublier,

L'Université Henri Christophe, un nouveau campus de l'Université d'État d'Haïti, doit être inauguré le 12 janvier 2012, après plus de 17 mois de travaux (première pierre posée le 31 juillet 2010[3]). Financé par la République dominicaine, il doit accueillir 10 000 étudiants dans ce qui sera considéré comme l'infrastructure universitaire la plus moderne d'Haïti. Celle-ci sera composé de plusieurs bâtiments de trois étages comportant : 72 salles de classe pour 30 étudiants chacune, une bibliothèque, des salles de réunions, des laboratoires informatiques, comptables, scientifiques, ainsi que des installations académiques, administratives et récréatives[4].

Si vous décidez de visiter cette ville, je peux vous assurer que vous ne le regretterez pas. Essayez et vous verrez. 


mardi 12 juin 2012

JUSTIN LHERISSON

 Bèl ti gason sa nou wè la a rele JUSTIN LHERISSON. Li fèt pòtoprens yon jou ki te 10 fevriye 1873. li te fè etid li nan lise pòtoprens. Nonm sa se te yon gran jounalist, yon gran ekriven. en 1898 li met sou pye yon jounal kite rele « Le soir » li te konn ekri atik li yo nan estil pal menm. Li te ekri de roman « La famille des pitite-caille » et « Zoune chez sa ninnaine ». il te ekri tou de twa pwezi, « l’aurore. Passe-temps, boulets rouges etc.. ». li ekri avek yon zanmi ki rele W. Bellegarde yon liv istwa d’ayiti, yo te itilize liv sa a pou aprann timoun lekol istwa peyi yo. E se li ki te ekri pawòl chante drapo peyi d’ayiti. Li mouri 15 novanm 1907.

JUSTIN LHERISSON est né  à  Port-au-Prince le 10 février 1873. Il fit ses études au lycée de Port-au-Prince. Il publia d’abord de la poésie , vers les années 1890 (les chants de l’aurore, passe-temps, boulets rouges, etc..). Il  a écrit aussi les paroles de la Dessalinienne.  il a écrit en collaboration avec son ami W. Bellgrade un recueil d’Histoire d’Haiti. Il était aussi un journaliste  très unique dans son style.  il fonda en 1898 un journal quotidien « Le soir ». et comme roman, il a écrit « la famille des pitite-caille » et «  Zoune chez sa ninnaine ». il est mort le 15 novembre 1907 à Port-au-Prince.






mercredi 6 juin 2012

im nasyonal peyi dayiti

Pou Ayiti peyi Zansèt yo
Se pou n mache men nan lamen
Nan mitan n pa fèt pou gen trèt
Nou fèt pou n sèl mèt tèt nou
An nou mache men nan lamen
Pou Ayiti ka vin pi bèl
An nou, an nou, met tèt ansanm
Pou Ayiti onon tout Zansèt yo.

Pou Ayiti onon Zansèt yo
Se pou n sekle se pou n plante
Se nan tè tout fòs nou chita
Se li k ba nou manje
Ann bite tè, ann voye wou
Ak kè kontan, fòk tè a bay.
Sekle,wouze, fanm kou gason
Pou n rive viv ak sèl fòs ponyèt nou.

Pou Ayiti ak pou Zansèt yo
Fo nou kapab vanyan gason
Moun pa fèt pou ret avèk moun
Se sa k fè tout Manman ak tout Papa
Dwe pou voye Timoun lekòl
Pou yo aprann, pou yo konnen
Sa Tousen, Desalin, Kristòf, Petyon
Te fè pou wet Ayisyen anba bòt blan.

Pou Ayiti onon Zansèt yo
Ann leve tèt nou gad anlè
Pou tout moun, mande Granmèt la
Pou l ba nou pwoteksyon
Pou move zanj pa detounen n
Pou n ka mache nan bon chimen
Pou libète ka libète
Fòk lajistis blayi sou peyi a.

Nou gon drapo tankou tout Pèp.
Se pou n renmen l, mouri pou li.
Se pa kado, blan te fè nou
Se san Zansèt nou yo ki te koule
Pou nou kenbe drapo nou wo
Se pou n travay met tèt ansanm.
Pou lòt, peyi, ka respekte l
Drapo sila a se nanm tout Ayisyen

jeudi 31 mai 2012

HAITI PEYI SOLEY


« Lèm pa wè solèy la, mwen paka leve, paka kanpe, paka mache, paka kouri, kèm pa kontan, mwen pasa viv »  De Jean-Michel Daudier


lundi 7 mai 2012

Haiti (Hymne national)


Pour le Pays, pour les Ancêtres
Marchons unis, marchons unis
Dans nos rangs point de traîtres
Du sol soyons seuls maîtres
Marchons unis, marchons unis
Pour le Pays, pour les Ancêtres
Marchons, marchons, marchons unis
Pour le Pays, pour les Ancêtres

Pour les Aïeux, pour la Patrie
Bêchons joyeux, bêchons joyeux
Quand le champ fructifie
L'âme se fortifie
Bêchons joyeux, bêchons joyeux
Pour les Aïeux, pour la Patrie
Bêchons, bêchons, bêchons joyeux
Pour les Aïeux, pour la Patrie

Pour le Pays et pour nos Pères
Formons des Fils, formons des Fils
Libres, forts et prospères
Toujours nous serons frères
Formons des Fils, formons des Fils
Pour le Pays et pour nos Pères
Formons, formons, formons des Fils
Pour le Pays et pour nos Pères

Pour les Aïeux, pour la Patrie
O Dieu des Preux, O Dieu des Preux
Sous ta garde infinie
Prends nos droits, notre vie
O Dieu des Preux, O Dieu des Preux
Pour les Aïeux, pour la Patrie
O Dieu, O Dieu, O Dieu des Preux
Pour les Aïeux, pour la Patrie

Pour le Drapeau, pour la Patrie
Mourir est beau, mourir est beau
Notre passé nous crie:
Ayez l'âme aguerrie
Mourir est beau, mourir est beau
Pour le Drapeau, pour la Patrie
Mourir, mourir, mourir est beau
Pour le Drapeau, pour la Patrie

Duplan

Duplan